Relaxation Coréenne

De l’orient à l’occident…

La relaxation Coréenne est une technique de relaxation ancestrale qui s’apparente à la tradition. Son origine exacte reste inconnue. Il est difficile de savoir si elle tient ses origines de Chine, du Japon ou de Corée.

Elle se pratique habillé, allongé sur le sol, sur un tatami, un futon, ou un tapis. Elle apporte détente physique et mentale, au travers de mobilisations passives des articulations, d’étirements, de bercements, de vibrations, de secousses, de balancements, qui se propagent à travers tout le corps sous forme d’ondes vibratoires. Des mouvements plus doux, subtiles, alternent avec des mouvements plus toniques, puis plus profonds, permettant aux tensions de se dénouer et aux énergies de circuler de manière plus homogène. Toutes les parties du corps, sont mobilisées et invitées à se détendre.

                                                                                                           

 

Quand le corps lâche, le mental suit. Cette forme de relaxation procure un bien-être d’une rare profondeur et permet une déconnexion mentale. L’être humain est alors pris dans sa globalité, corps et esprit. C’est une technique qui procure une sensation d’apesanteur, tout en étant bien ancré au sol.

Cette méthode a été introduite en France au début des années 80 par son précurseur en Occident : J.B. Rishi.

Il en donne la définition suivante :
“La Relaxation Coréenne s’apparente à la tradition ; elle est reliée à un courant culturel trouvant son origine probablement dans la tradition chinoise. Elle existe encore et notamment en Corée mais non pas sous forme de technique. Dans quelques villages et dans quelques familles, elle sert encore à créer des liens de solidarité entre les membres du groupe. Sa pratique n’est pas systématique, ni ne fait l’objet d’une théorie, mais, en parcourant l’Extrême Orient, on sent que c’est une connaissance qui est là, sous-jacente dans les milieux populaires.
De notre point de vue, ce n’est pas une technique. Nous sommes tentés de l’appeler «l’art de la détente profonde», s’il est vrai que par l’art, l’homme sort de ses raisonnements et à partir d’une expérience du niveau de la perception dégage ses facultés créatrices.
Au terme de ce voyage intérieur qu’est la détente profonde, la vie corporelle délivrée des tensions, des perturbations, s’ouvre à toutes les directions de l’espace…”